•
Sont éligibles les souscriptions
au capital de départ ou
aux augmentations de capital des
Sociétés répondant
à la définition
communautaire de la PME, soit
la quasi-totalité des PME
au sens commun du terme,
• Les sociétés
doivent être créées
depuis moins de 5 ans, être
soumises à l’impôt
sur les sociétés,
ne pas être en difficultés
(c’est-à-dire ne
pas avoir perdu plus de la moitié
de leur capital social), exercer
une activité exclusivement
commerciale, artisanale, industrielle,
libérale ou agricole.
Sont donc exclues les sociétés
exerçant, même de
manière accessoire, une
activité immobilière,
ou de gestion de leur patrimoine
mobilier (cas des holdings purs).
La condition d’emploi de
deux salariés à
la clôture de l’exercice
suivant celui de la souscription
(ou d’un salarié
lorsque la société
est inscrite au répertoire
des métiers), qui avait
été introduite en
2011, a été maintenue.
La réduction est de 18
% des sommes investies, dans la
limite annuelle de 50 000 euros
de versement pour les contribuables
célibataires, veufs ou
divorcés et de 100 000
euros pour les contribuables mariés
ou liés par un PACS.
Les sommes investies au-delà
de ces plafonds ouvrent droit
à la réduction dans
les mêmes conditions les
quatre années suivantes.
A noter encore que cette réduction
d’impôt est prise
en compte dans le plafonnement
global des avantages fiscaux et
qu’elle fait l’objet
d’une reprise si les parts
souscrites ne sont pas conservées
jusqu’au 31 décembre
de la cinquième année
suivant celle de la souscription.
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